Écrit par: Stewart Borland
Publié: 4th January 2021
2020 fut une année sans pareille. Avec la menace d’une pandémie mondiale, nos routines et la vie telles que nous les connaissions se sont arrêtées. Et tandis que les humains du monde entier se confinaient dans leurs maisons, la faune a prospéré ! Dans la réserve naturelle, mis à part le manque de visiteurs à 2 pattes, la vie continue. Ce qui signifie une année entière d’événements passionnants, intrigants et inspirants. Dans cette newsletter, nous vous apportons des nouvelles des réserves, mais nous aimerions également nous remémorer ensemble certains des moments les plus exaltants de l’année. Enfin, l’équipe Highland Titles souhaite à tous un Happy Hogmanay and a Guid New Year !
Ce fut une réelle joie de voir Hope gagner en confiance dans son rôle de mère. Et une joie encore plus grande de voir ces deux adorables chatons grandir et développer leur propre personnalité. Cependant, en même temps que les chatons, l’incertitude grandit quant à leur avenir. Alors avant de vous parler de nos projets, voici un petit peu plus d’informations sur nos jeunes résidents.
Étant donné que Stewart a pu se rapprocher des chatons (non sans être reconduit à la porte de l’enceinte par la prudente maman), nous avons pu identifier leurs sexes et observer de plus près leurs marques de fourrure. Celui qui porte les bottes blanches à la mode, surnommé affectueusement Socks, est un petit garçon effronté. En raison de cette caractéristique très visible, nous savions depuis un certain temps qu’il n’était pas un pur chat sauvage écossais. L’autre, avec les rayures plus proéminentes, affectueusement surnommée Stripey, est une petite fille douce. Mais après avoir regardé de plus près ses marques et sa queue (qui est très pointue), il est également devenu de plus en plus clair qu’elle n’est pas non plus un chat sauvage écossais.
Parce qu’ils ne sont pas assez purs pour être inscrits au programme de reproduction et de retour à la nature, il est prévu de les stériliser. C’est une exigence légale puisqu’ils sont classés comme chats non domestiques. Le plan est soit de leur trouver un foyer, probablement une ferme avec beaucoup d’espace et quelqu’un pour les nourrir et les soigner, soit les relâcher dans la réserve naturelle, avec l’espoir que nous pourrons encore les voir et leur procurer de la nourriture si leurs talents de chasseurs ne sont pas aussi bons que leurs homologues sauvages. Mais nous reparlerons de tout cela durant l’année – pour l’instant, profitez de ces images hilarantes des chatons en train de jouer et de s’entraîner aux attaques surprises.
Grâce à votre loyauté et votre soutien inébranlables, cette année regorge de jalons et de moments à célébrer. Faisons ensemble un voyage dans le temps et découvrez quel fut votre moment préféré en 2020. Vous pouvez voter en remplissant le formulaire ci-dessous. Nous avons hâte de voir les résultats !
VOTEZ POUR VOTRE MOMENT PRÉFÉRÉ DE 2020
Les truies déménagent une fois de plus ! Cette fois-ci, tout s’est étonnamment bien passé. Nous les avons appâtées jusqu’à la remorque grâce à de la nourriture et elles y sont montées facilement. D’accord, c’est une petite exagération, il a d’abord fallu passer l’ancienne ligne de la clôture électrique (les truies savent que la clôture était là, refusent de croire qu’elle n’y est plus, et n’aiment toujours pas s’approcher de cet endroit). Mais Cagney & Lacey sont finalement dans un nouveau pré avec beaucoup d’espace, où elles ont déjà commencé à travailler dur, ce qui semble beaucoup leur plaire !
Nous ne savons pas ce qui est pire : ne pas savoir qui ou quoi volait les bols de nourriture de la Forever Home des hérissons, ou ne pas savoir pourquoi les bols étaient volés. Le renard voleur a de nouveau été pris en flagrant délit par la même caméra espionne. On peut le voir en train de manger la nourriture des hérissons, de lécher le bol, puis de l’emporter simplement. Avec cet air satisfait sur sa face, on pourrait presque croire qu’il savait qu’il était filmé. Nous commençons à penser qu’il pourrait être à moitié pie et inexplicablement attiré par les objets brillants !
Non, nous ne parlons pas des écureuils roux, mais bien du deuxième mammifère le plus rare de Grande-Bretagne : la martre des pins. Ce prédateur, friand de rongeurs, est en réalité un héro pour l’écureuil roux.
Comme il a été découvert lors d’une étude en mars 2018, en chassant surtout les écureuils gris, les martres des pins luttent contre la prolifération de cette espèce invasive, et contribuent ainsi à la conservation de l’écureuil roux. Nous préférerions tout de même que leurs heures de repas restent séparées, juste au cas où !
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